En 30 ans, le BIC de Montpellier a accompagné plus de 670 entreprises. 65 % d'entre elles sont issues du numérique, 15 % des biotech/medtech et 9 % des cleantech.
Le CEEI Nice, est quant à lui plus récent, mais aussi très prometteur. Né en 2008, il a hébergé 164 startups créatrices de plus de 670 emplois.
Ces deux incubateurs ont aidé de jeunes pousses à grandir, jusqu'à devenir de bien jolies plantes, à l'image de l'entreprise Vulog à Nice, spécialisée dans les technologies de mobilité partagée, qui a levé 17, 5 millions d'euros l'an passé et a désormais des implantations dans le monde entier.
Les startups My Coach (plate-forme digitale de coaching, partenaire des Fédérations Françaises de Football, de Volley et Surf), Aktisea (entreprise spécialisée dans la relation client) ou encore Mobendi (startup qui développe des bornes de recharge connectées et solaires) sont d'autres réussites du CEEI Nice.
Le BIC de Montpellier englobe quant à lui Cap Alpha à Clapiers ainsi que Cap Omega et le Mibi au Millénaire. Il a permis le développement, entre autres, de TEADS, développeur de solutions de vidéos programmatiques, AQUAFADAS, éditeur de logiciels innovants, ou encore NEOTIC devenu Smag Group, leader français des systèmes d’informations agronomiques.
De nombreuses startups du BIC ont également réussi leur introduction en bourse, à l'image d'AWOX (21,5 millions d'euros en 2014), leader des objets inter-connectés grand public, MEDTECH (20 millions d'euros en 2016), expert en robotique neuro-chirurgicale ou encore OCEASOFT.
Autant de réussites qui ont hissé le BIC de Montpellier, en février 2018, à la 2e place des incubateurs mondiaux selon un classement Ubi Global.