A la fin de l’été une loi de mobilité sera présentée pour sortir les milieux ruraux de la « zone blanche ». Cette loi permettra aux particuliers de jouer un rôle de chauffeurs occasionnels contre une rémunération fournie sous forme de subvention. Un
Les transports en commun : Ils nous permettent de nous déplacer aisément, viennent en substitution de la voiture et sont souvent un gain de temps.
Néanmoins, l’accessibilité aux transports en commun est cependant inégale puisque les milieux urbains sont plus favorisés que les ruraux. Comme l’a suggéré le ministère des transports, une nouvelle loi sur la mobilité pourrait être votée pour ainsi permettre à certains particuliers d’être rémunérés par des collectivités pour transporter d’autres particuliers.
Cette loi sur la mobilité sera présentée dès la fin de cet été 2018. En ce qui concerne la date d’application de celle-ci, nous n’avons pour l’instant aucune information.
Le projet ici est considéré comme une piste de travail par l’Etat, l’administration reste cependant prudente sur le projet, puisqu’ici le but n’est pas de faire de la concurrence aux sociétés de taxis. Inutile de répéter la polémique qui a eu lieu lors de l’arrivé de l’application de la société américaine de transport « UBER ».
Le principal objectif de la mise en application de cette nouvelle loi est principalement de fournir aux territoires ruraux, une solution de transport qui était jusqu’à présent presque inexistante dû aux fameuses zones blanches non couvertes par les services.
Les taxis ne seront donc pas mis en danger puisque ces derniers ne couvrent que très rarement les zones rurales.
Ces particuliers jouant donc le rôle de chauffeurs occasionnels se verront verser une rémunération pour leurs courses, sous forme de subventions.
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