Barcelone skyline ©Jeremy Flament
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Juli Choquet
14 février 2018 Dernière mise à jour le Mercredi 14 Février 2018 à 09:02

Les indépendantistes sont partagés entre la présidence de Carles Puigdemont qui réside en Belgique ou celle de Roger Torrent officielle mais surtout légale du parlement Catalan. L’exilé Catalan vient lui de faire appel à la Cour Européenne des Droits

C’est une situation bien complexe dans laquelle se retrouve le parlement de Catalogne. L’idée émerge d’un pouvoir a deux têtes avec d’un coté une présidence technique menée par Roger Torrent et de l’autre Carles Puigdemont leader charismatique de l’indépendantisme Catalan.

Mais voilà qu’au sein de son propre parti Junts per Catalunya, Carles Puigdemont essuie des critiques de la part de ses militants et élus. Le parti de gauche ERC n’est guère favorable à cette solution de peur d’effriter un gouvernement qui n’est déjà pas officiellement constitué et très contesté en Espagne comme dans le reste de l’Europe.

Pour se sortir de cet l’imbroglio politique sans fin, Junts per Catalunya souhaite saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme (la CEDH). En réalité il s’agit de protéger ses arrières pour pouvoir un jour s’envoler de nouveau vers Barcelone.

En effet la cour constitutionnelle Espagnole, a posé des conditions très strictes quant au retour de l’intéressé. Pour rappel, la région Catalane dans laquelle vivent actuellement 7,5 millions de personnes est toujours sous la coupe du gouvernement Espagnol. Soraya Saenz de Santamaria vice présidente du gouvernement de Madrid est officiellement à la tête de la Generalitat.

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