En direct de Nice : La CECAZ et le mythique Belem ont accueilli le jobdating de la banque azuréenne

Détendu ou presque, ils étaient vingt-cinq à passer les derniers entretiens et échanger avec les responsables d’agences à bord de ce mythique trois-mâts. Après avoir postulé en ligne, leur profil ayant attiré l’attention des ressources humaines, ils ont été convoqués pour les derniers entretiens. Banquiers ou pas, du moment que la banque et ses métiers les intéressent ils ont toutes les chances de trouver leur place au sein de cette institution qui est constamment à la recherche de nouveaux talents et potentiels.

« Nous sommes un recruteur très actif, précise Élodie FOURNIER BERARDI, Responsable de l’équipe recrutement, gestion des carrières de la CECAZ. Depuis le début de l’année, nous avons recruté 101 personnes et il nous reste encore 30 postes à pourvoir d’ici la fin de l’année. 75 % des postes concernent des postes de conseiller au sein des agences, de la banque en ligne ou encore en centres d’affaires. ». Très formateur, c’est le premier poste qui sera proposé aux candidats, pour bien apprendre le métier avant d’entamer l’évolution dans l’entreprise. Ici, les opportunités de carrière sont très importantes.

« Les recrutements à la CECAZ ne sont pas réservés uniquement aux banquiers, précise Élodie FOURNIER BERARDI. Cette année, nous ouvrons, pour la deuxième fois, nos portes à tous ceux qui s’intéressent à la banque, qu’ils viennent de l’immobilier, de la téléphonie, de la pâtisserie ou de l’esthétique ou encore de l’automobile… peu importe, il suffit d’avoir un BAC+2. Ces candidats sont formés pendant un an, ils travaillent en parallèle trois semaines par mois dans nos agences, obtiennent un BAC+3 en banque et ensuite ils sont recrutés, peu importe leur âge… qu’ils aient 25 ou plus de 45 ans ! »

Et il y avait des candidats venant d’ailleurs sur le Belem ce soir-là à Nice, à l’image d’Audrey LEFI. Celle qui a débuté sa carrière dans les assurances a particulièrement apprécié le cadre « propice à la motivation, qui détend » et espère intégrer l’une des agences de la CECAZ. Nadia AKACHA, une autre candidate est ravie de ce « cadre idyllique permettant d’être soi-même dans l’échange et de mettre en valeur ses compétences et le projet professionnel ». Comme Thibaut LE FAUCHEUR, un candidat venant de Paris, ils espèrent tous que le Belem – ce monument, dont la CECAZ et mécène depuis plus de 40 ans, ce voilier mythique qui transporteras la flamme olympique l’an prochain – leur porte chance, comprenez : un CDI !