Pour permettre aux jeunes de concrétiser leurs projets et leurs envies, la Région Occitanie veut leur donner les moyens de bouger comme ils le souhaitent. Pour cela, elle a adopté de nouvelles mesures lors de sa dernière Assemblée plénière.
Pour les trains et cars :
A partir du 22 décembre (1er jour des vacances scolaires et lendemain de la gratuité totale des transports en commun pour les habitants de la métropole de Montpellier), gratuité d’usage sur les trains et les cars liO pour 1 million de jeunes, de 12 à 26 ans.
Pour le Vélo :
– Aide à l’achat d’un vélo pour les élèves boursiers en classe de 2nd, pouvant aller jusqu’à 200€ ;
– À partir de septembre 2024, dans 6 établissements d’Occitanie, expérimentation d’un prêt gratuit de vélo aux lycéens ;
– Aide à la création de pistes cyclables aux abords des lycées.
Pour le Covoiturage :
Premier semestre 2024, lancement d’une expérimentation pour multiplier par 2 l’aide au covoiturage pour les jeunes de 18 à 26 ans.
Carole Delga, présidente de la Région a indiqué : « J’ai fait de la mobilité, et de la liberté qu’elle offre, un engagement et une vision de société conjuguant le social et l’écologie : développer les services de train et de car avec les tarifs les moins chers de France, encourager l’usage du vélo, accompagner le covoiturage avec une aide financière, etc. Tout est fait par la Région pour inciter ses habitants à faire un autre choix que celui de la voiture individuelle, bien sûr quand cela est possible.
Notre volontarisme politique paie. Les mesures planifiées depuis 2016 donnent les résultats que nous connaissons aujourd’hui : + 25% de fréquentation en 1 an pour nos autocars, 1ère Région en termes d’augmentation de la fréquentation de nos trains du quotidien (+ 20% par rapport à 2022 et + 44% par rapport à 2019).
Chaque jour, ce sont 108 000 véhicules évités sur la route grâce aux cars et trains liO. Et je n’oublie pas les 800 000 jeunes qui ont bénéficié des billets à 1€ cet été. Car l’une de mes priorités est de continuer à amplifier les aides pour nos jeunes : ils sont les prescripteurs de demain »