Le trois-mâts Belem, dernier des grands voiliers français, transportera la flamme Olympique au printemps 2024, entre Athènes et Marseille, en passant par Antibes. Au départ de Grèce, la flamme Olympique rejoindra la cité phocéenne par la mer à bord du Belem, propriété de la Caisse d’Epargne depuis plus de 40 ans. Une odyssée à la jeunesse et à l’inclusion sur laquelle Claude Valade, Président du directoire de la Caisse d’Épargne Côte d’Azur, est revenu pour Ecomnews. Reportage.
Le mythique trois-mâts Belem prendra bientôt la mer pour une mission exceptionnelle : le transport de la flamme olympique des JO Paris 2024. Acquis par la Caisse d’Epargne il y a plus de 40 ans, le Belem deviendra ainsi le symbole d’un engagement renouvelé en faveur de la jeunesse et de l’inclusion. Cette traversée, qui débutera le 27 avril depuis Athènes pour s’achever à Marseille le 8 mai, sera accompagnée par quatorze jeunes sélectionnés parmi les territoires des Caisses d’Épargne, illustrant ainsi la volonté de valoriser la jeunesse de tous les horizons.
Les quatorze jeunes, dont l’Azuréenne Manon, âgés de 16 à 25 ans et venant des quatre coins de la France, incarneront l’engagement de la Caisse d’Épargne en faveur de la jeunesse et de l’inclusion. Sélectionnés pour leur abnégation, leur capacité d’adaptation et leur force d’initiative lors de stages d’insertion en mer, ils auront l’honneur de ramener la flamme olympique à Marseille.
Un engagement renouvelé de la Caisse d’Épargne
« La Caisse d’Epargne se réjouit d’apporter la magie des Jeux en France avec le trois-mâts Belem dont elle est mécène », précise Claude Valade, Président du directoire de la Caisse d’Épargne Côte d’Azur (CECAZ). Cette traversée incarne l’engagement de notre Banque en faveur de la jeunesse et de l’inclusion et le Belem est bien plus qu’un simple navire.
De plus, cette traversée exceptionnelle contribuera à mettre en lumière le Belem et son rôle dans le paysage culturel français. Ça va être quelque chose d’assez fantastique, assure-t-il. C’est très important dans la mesure où le Belem appartient depuis plus de 40 ans à la Fondation Caisse d’Épargne pour le Belem. Donc là encore c’est une affaire de mutualisation, les 15 Caisses d’Épargne étant propriétaires du navire. »
Un impact économique pour la région
Le passage du Belem à Antibes pour le relais de la flamme olympique Paris 2024 est bien plus qu’un événement maritime. Le Maire de la Ville jumelée avec Olympie, ne cache pas sa fierté : « Le Belem c’est un symbole de patrimoine vivant sur la mer, un monument historique au sens véritable du terme et donc c’est une fierté de l’accueillir dans le port d’Antibes.
Le 18 juin, la flamme olympique traversera la ville d’Antibes, mais je dirais presque surtout la flamme paralympique parce que là, Antibes sera la ville du sud qui accueillera la flamme paralympique avant qu’elle ne parte directement à Paris », se félicite Jean Leonetti.
En accueillant le passage de la flamme olympique, Antibes se positionne comme un acteur clé dans la promotion des Jeux Olympiques de Paris 2024. « Cette manifestation aura des répercussions positives sur l’économie locale, en attirant des visiteurs et des journalistes dans la région », se réjouit Jean-Pierre Savarino, Président de la Chambre de commerce et d’industrie Nice Côte d’Azur.
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