Immobilier : Cezame, la passerelle vers l’accès à la propriété en toute simplicité et sérénité !

Le concept de Cezame tient en trois mots : « Testez, capitalisez, achetez », c’est un format innovant en faveur de toutes celles et tous ceux qui recherchent un logement. L’objectif est de répondre à beaucoup de profils que ce soit les jeunes actifs, des personnes souhaitant changer de logement suite à l’arrivée d’un enfant, des auto-entrepreneurs, des personnes en reconversion professionnelle….

L’apport de la location-accession est imparable et permet réellement à toutes celles et ceux souhaitant s’installer ou rester ancrés sur le territoire, de le faire sans avoir une épée de Damoclès au-dessus de leur tête. En faisant confiance à Cezame ils peuvent aborder l’accession à la propriété en toute sérénité avec un parcours sécurisé et un accompagnement complet.

« Cezame c’est quoi ? C’est donner la possibilité à des primo-accédants d’acheter un logement neuf ou ancien pour y vivre, en leur laissant le temps de trouver des solutions tout en testant leur logement un an avant de l’acheter. C’est une garantie forte ! » explique Olivier Ganivenq, Président de Promeo.

En proposant des logements environ six mois avant leur livraison, Cezame permet également aux acheteurs de réellement se projeter dans leur future acquisition, puisqu’ils peuvent visiter autre chose que des terrains en friche ou ne se reposent pas uniquement sur des maquettes souvent froides et à l’aspect factice. Ils peuvent visiter des appartements quasiment terminés déjà ancrés dans leur environnement et surtout, derrière, les tester pendant 12 mois ! 

« Aujourd’hui il y a énormément de gens qui sont locataires et qui ont envie de devenir propriétaires, de l’ordre de 80%. Pour apporter cette réponse nous avons fait une étude sociologique dans le but de lever des freins à la démarche d’accession à la propriété », détaille Olivier Ganivenq.

Pour faire connaître son système unique, Cezame a organisé une série d’évènements sur le territoire. Le 2 juin, Cezame invitait tous les chineurs, brocanteurs, recycleurs, bricoleurs à un vide grenier au 72 rue Mario Roustan, un immeuble ancien rebaptisé « Le 72 » racheté par Cezame en vue d’y proposer des appartements.

Les 8 et 9 juin se tiennent à Frontignan, des ventes éphémères d’appartements au sein de la tout juste sortie de terre résidence « Le Smart ». Le but, présenter le dispositif à toutes les personnes qui ont envie d’accéder à la propriété et permettre à des premiers acheteurs de tester Cezame !

Véronique Rentet, Directrice de Cezame, est confiante « Depuis un an Cezame a rencontré beaucoup d’opérateurs, elle a signé des projets, on attaque la dernière phase, on va rencontrer notre public et voir si l’offre de Cezame en location-accession fonctionne et séduit les nouveaux propriétaires ».

Cezame est également une solution à destination des communes afin de fixer des habitants sur leur territoire et les re-dynamiser. Des familles qui s’installent dans une ville à taille humaine, c’est tout une économie qui revit, des commerces qui s’ouvrent, des écoles qui reprennent. Une logique dans l’ère du temps avec le développement du télétravail et la volonté des familles de s’éloigner des métropoles.

« Ce travail de proximité répond aux besoins des communes. Il n’y a pas uniquement les très grosses agglomérations qui doivent avoir des propositions immobilières. Des communes à plus petite échelle offrent des structurations permettant à de nouveaux arrivants de s’installer tranquillement. La maison n’est plus simplement un lieu de vie mais également un lieu de travail, ce qui rend justement ces communes si attractives aujourd’hui » explique Véronique Rentet.

Choisir Cezame c’est une garantie aux personnes de s’installer facilement sur le territoire qu’ils souhaitent. « On préfère que les populations jeunes puissent s’installer et rester dans leur périmètre, dans la ville où ils veulent être, retourner sur la terre où ils sont nés. Avec Cezame nous nous adressons en priorité aux gens issus du territoire et qui souhaitent s’y ancrer », estime Olivier Ganivenq.