Ce nouveau moulin rassemble les dernières innovations nécessaires pour répondre aux exigences de qualité, de régularité et de sécurité alimentaire.
Situé sur la commune de Saint-Ignat (Puy-de-Dôme), le nouveau moulin à blé de Limagrain s’inscrit dans la stratégie de circuit-court agro-alimentaire mise en place par le Groupe pour valoriser les productions de blé des agriculteurs adhérents de la Coopérative.
« Avec ce nouveau moulin, au service de l’avenir de la filière blé, Limagrain concourt à la vitalité et à la performance durable des exploitations agricoles de Limagne Val d’Allier et démontre son engagement pour l’avenir. Le nouveau moulin permet d’une part, d’assurer aux agriculteurs adhérents une transformation de leur blé pour les décennies à venir sur leur territoire et, d’autre part, de poursuivre le développement de l’activité meunerie de Limagrain portée par sa Business Unit Limagrain Ingrédients » souligne Sébastien Vidal, président de Limagrain.
Aujourd’hui, la filière blé représente 20 000 ha en Limagne. Au total, 180 000 tonnes de blé par an sont produites en contrat avec 738 exploitations.
Ce blé est transformé à 50 % localement.
Ce nouveau moulin rassemble les dernières innovations nécessaires pour répondre aux exigences de qualité, de régularité et de sécurité alimentaire : un moulin automatisé ; un moulin pressurisé pour limiter les risques liés aux insectes ; un transport pneumatique dernière génération sans zone de rétention pour limiter le risque sanitaire ; un pré-nettoyage des blés avant le stockage pour la suppression des impuretés.
Grâce à sa grande polyvalence, il permet de produire tous les types de farines, (de la farine complète à la farine ultra-blanche), adaptées à la fois aux attentes des clients industriels et des clients de la boulangerie artisanale.
Le moulin de Saint-Ignat remplace les deux moulins existants (à Bouzel et à Gerzat) et se veut aussi beaucoup plus performant. Sa capacité d’écrasement est portée à 110 000 tonnes de blé par an (350 tonnes par jour), soit un rendement de + 1 à + 1,5 % par rapport aux anciens moulins.
« Alors que la question de la souveraineté alimentaire est sur toutes les lèvres, nous devons créer les conditions qui permettront de produire durablement en France notre alimentation » souligne Sébastien Vidal, directeur de Limagrain.
Par ailleurs, comme à chaque même période de l’année, Limagrain recrute sur le Puy-de-Dôme, pour ses récoltes d’automne (maïs, tournesol), qui vont jusqu’à fin octobre, plusieurs centaines de saisonniers.
Aujourd’hui, en Auvergne-Rhône-Alpes, la Coopérative Limagrain c’est plus de 40 000 ha de productions sous contrat représentant environ 50 % des productions végétales du Puy-de-Dôme.
Limagrain est également un acteur économique majeur dans la région.
En Auvergne-Rhône Alpes, Limagrain c’est 1 500 adhérents, 2 000 salariés dont 250 chercheurs et un chiffre d’affaires de 754 M€.
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