Avec sa nouvelle expertise sur la santé, la Cecaz souhaite proposer à l'ensemble de ses clients professionnels de la santé une offre humaine et commerciale qui soit de très bon niveau. L’objectif est d’accompagner au plus près les acteurs de ce secteur qui est en pleine transformation, évolution et mutation.
Après Luxury Properties, Vitibanque, Parfumerie, Nautibanque et Territoire Tourisme, la Cecaz se spécialise dans la santé.
Les centres d’affaires et les agences azuréennes de la Caisse d’épargne gèrent déjà quelque 3400 clients du secteur, qu’il s’agisse des grands acteurs comme l’hôpital public, des cliniques privées et EHPAD ou des libéraux.
Avec l’actuel taux de pénétration – autour de 11 % – à l’Arenas, au quartier des affaires de la capitale azuréenne, on ambitionne de faire mieux, d’avancer plus vite sur le secteur.
« Nous faisons mieux notre métier de banquier quand on connaît bien le métier de nos clients, souligne François-Xavier Druart, directeur du Centre d’affaires Territoire Santé. Cela nous rend plus précis dans nos analyses, dans l’identification de nos clients et surtout cela nous donne un impact de développement qui est supérieur. »
Pourquoi la santé ?
Troisième secteur en France, celui de la santé est, sur la Côte d’Azur, encore plus important : premier employeur de la région avec une forte dynamique dans le domaine des Med tech et Bio Tech. De plus, il s’agit d’un secteur qui est en pleine mutation et transformation : le vieillissement de la population entraîne l’évolution des structures d’accompagnement et les professionnels de santé se regroupent de plus en plus dans de différentes structures.
La Caisse d’Epargne Côte d’Azur, dont la vocation est d’être utile, souhaite accompagner au maximum tous ces projets en tant que partenaire financier.
Une équipe réactive et très bien formée
Le Territoire Santé, c’est une équipe constituée de onze chargés d’affaires très expérimentés partagés entre Nice et Toulon. La proximité est ainsi garantie !
Ces professionnels de la banque vont devenir rapidement spécialistes de la santé grâce à une formation spécifique. De plus, ils vont être immergés dans l’écosystème de la santé au sein des clients, prospect, autorité de tutelle (ARS) et en rencontrant des syndicats de professionnels.
« Tout cela va nous permettre de construire progressivement et rapidement une expertise de ce secteur qui va nous rendre légitime pour avoir ce titre de banquiers experts du secteur de la santé“, explique le Directeur de la nouvelle unité.
L’équipe va également s’appuyer sur le réseau d’agences et de centres d’affaires qui vont faire remonter les informations sur les futurs projets concernant le secteur de la santé.
Cette équipe réactive sera au plus près des clients en se déplaçant chez eux pour rendre la relation bancaire la plus facile possible. Son expertise sera accompagnée par l’ensemble d’offres bancaires de la Cecaz et de la BPCE. « Nous souhaitons proposer à l’ensemble de nos clients professionnels de la santé une offre humaine et commerciale qui soit de très bon niveau. »
Pour quelles ambitions ?
Le mot d’ordre sera l’accompagnement ! Celui de nouveaux projets, de l’activité au quotidien.
Accompagner les projets patrimoniaux et la stratégie d’épargne, mais aussi financer les équipements et protéger l’activité et la famille sont deux autres objectifs de la CECAZ. Mais pas que !
« On travaille sur une solution monétique à destination des professionnels de la santé, précise François-Xavier Druart. On cherche à faire évoluer, en permanence, les paiements par smartphone, par exemple. »
Le groupe, dont la CECAZ fait partie, a beaucoup d’ambition pour le secteur de la santé. « La semaine dernière BPCE a annoncé l’acquisition d’un site spécialisé dans le financement de l’équipement médical.»
Et quand on parle d’ambitions, la CECAZ souhaite doubler le nombre de ses clients d’ici trois ans et arriver à sept mille. « On se donne, également, comme objectif de doubler le PNB de l’entité. Aujourd’hui on a une part de marché qui est autour de 11,5, notre objectif est de gagner trois points d’ici trois ans » conclut le Directeur de Territoire Santé.